Autobiographie musicale – l’ellipse viens du cône et produit des récits en spirales
La partie esthétique et le pathos inhérent à l’aspect biographique sont présent dans la musique ci-dessous, réalisé lors d’un atelier sur l’autobiographie animé par Alessandro Bosetti.
Intitulé Les noms du père en référence à la conférence de Lacan du même nom, cette création dans le genre du récit autobiographique explore l’entre rire et larmes à travers le langage esthétique techno qui informe l’auditeur des intensités et notamment à travers l’utilisation mesuré et en mesure des kicks qui font échos à la parole, exposant un point de vue momentané et certainement romancé si ce n’est faux (après vérification), un regard à un moment de l’ellipse sur une de ses parties adverse formant le cone :
Un petit mot qui fait plaisir a ce propos de la part d’un poète et producteur à france culture :
Enfin de l’électro lacanienne !
Les Non Dupent Èrent de Denis Morin par Ellipses come from coneshttps://t.co/OlxrCyCW91— David Christoffel (@dcdb) 26 octobre 2016
Lui fait suite bien plus tard une prestation musicale vivante performé au Vog le centre d’art de Fontaine, ainsi qu’une nouvelle pièce empruntant toutes deux les paroles et le titre de la conférence de Lacan en question, cette fois-ci orthographié « les non-dupes èrent » parce que justement comme vous pouvez le constatez l’orthographe fluctue et en fluctuant glisse le long de l’ellipse du cône et spiralise le sens (et c’est bien heureux). Une pièce donc de house music encore dans les cartons.